Cet émollient (ingrédient utilisé pour adoucir la peau) a montré des propriétés de perturbation endocrinienne. De plus, il peut être pollué par des traces de cyclotetrasiloxane qui est non seulement PE mais toxique pour la reproduction. Enfin, un avis publié en avril 2015 par le Comité scientifique pour la sécurité des consommateurs, groupe d’experts de la Commission européenne chargé d’évaluer les cosmétiques, a mis en lumière un risque en cas d’inhalation : on devrait encore plus éviter ces composés dans les aérosols, sprays, poudres, etc.
Glyceryl stearate
Vitis vinifera seed oil
Elaeis guineensis oil
Cocos nucifera oil
Brassica campestris seed oil
Steareth-21
Propylene glycol
Ethylhexyl cocoate
Paraffinum liquidum
Cet ingrédient fait partie des huiles minérales et hydrocarbures de synthèse. Prohibées dans les produits alimentaires, les huiles minérales sont autorisées dans les cosmétiques. Ennuyeux lorsqu’il s’agit de rouges et baumes à lèvres dont une petite partie peut être ingérée. Car ces huiles sont susceptibles d’engendrer des composés indésirables : certains sont cancérogènes ; d’autres peuvent s’accumuler dans l’organisme, notamment dans les ganglions lymphatiques et le foie et y produire des réactions inflammatoires dont on ignore les conséquences exactes. Or dans les baumes et rouges à lèvres, elles sont souvent au cœur de la formule puisqu’on peut en retrouver dans les cires − qui forment la structure du produit et lui donnent la possibilité de former un film sur les lèvres − et les émollients – ajoutés pour conférer un peu de souplesse au stick et qui adoucissent la peau.
Urea
Microcristallina cera
Helianthus annuus seed oil
Lecithin
Paraffin
Cet ingrédient fait partie des huiles minérales et hydrocarbures de synthèse. Prohibées dans les produits alimentaires, les huiles minérales sont autorisées dans les cosmétiques. Ennuyeux lorsqu’il s’agit de rouges et baumes à lèvres dont une petite partie peut être ingérée. Car ces huiles sont susceptibles d’engendrer des composés indésirables : certains sont cancérogènes ; d’autres peuvent s’accumuler dans l’organisme, notamment dans les ganglions lymphatiques et le foie et y produire des réactions inflammatoires dont on ignore les conséquences exactes. Or dans les baumes et rouges à lèvres, elles sont souvent au cœur de la formule puisqu’on peut en retrouver dans les cires − qui forment la structure du produit et lui donnent la possibilité de former un film sur les lèvres − et les émollients – ajoutés pour conférer un peu de souplesse au stick et qui adoucissent la peau.
Parfum
Olea europaea fruit oil
Ethyl linoleate
Methylparaben
Zea mays oil
Xanthan gum
Retinyl palmitate
Allantoin
Panthenol
Carthamus tinctorius seed oil
Corylus avellana seed oil
Macadamia ternifolia seed oil
Ricinus communis seed oil
Simmondsia chinensis seed oil
Tocopheryl acetate
Sorbic acid
Glycine soja sterols
Triticum vulgare germ oil
Prunus persica kernel oil
Prunus armeniaca kernel oil
Pistacia vera seed oil
Persea gratissima oil
Oryza sativa germ oil
Mangifera indica seed oil
Juglans regia seed oil
Gossypium herbaceum seed oil
Camellia oleifera seed oil
Ethylparaben
Bht
Cet agent antioxydant permet d’éviter l’oxydation des formules, notamment de la phase grasse des émulsions, susceptible de rancir. Il est assez fréquemment utilisé, en particulier pour remplacer le BHA, un ingrédient soupçonné d’être à la fois perturbateur endocrinien et toxique pour la reproduction. Malheureusement, comme le souligne l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire), ces deux composés sont de proches parents et « leurs usages aussi bien que les préoccupations à leur sujet sont très similaires ». Le BHT semble être un perturbateur endocrinien. L’Anses a donc saisi les autorités européennes pour que soient réévalués ses effets sur le système hormonal, la reproduction, ainsi que son éventuelle action cancérogène.
Propylparaben
Ce paraben à longue chaîne est considéré comme perturbateur endocrinien. Tous les parabens ne sont pas à mettre dans le même panier. Ceux à courte chaîne, ethylparaben et methylparaben (et les composés qui contiennent ce nom, comme sodium ethylparaben) ont été blanchis par les experts français et européens. À l’inverse, les plus dangereux (isobutylparaben, isopropylparaben, benzylparaben, pentylparaben, phenylparaben) sont interdits depuis 2014. Propylparaben et butylparaben restent autorisés en tant que conservateurs malgré leurs potentialités toxiques (ainsi que les ingrédients dont le nom composé accole un de ces mots à « sodium » ou « potassium ») Ils ne sont interdits que dans les produits non rincés destinés à être utilisés dans la zone du siège (nettoyants, lingettes, crèmes) mais on en trouve dans des lingettes supposées être utilisées sur le visage ou les mains, entre autres produits.
Rosa canina fruit oil
Oenothera biennis oil
Limnanthes alba seed oil
Gevuna avellana seed oil
Carapa guaianensis seed oil
Camelina sativa seed oil
Argania spinosa kernel oil
Anacardium occidentale seed oil
Butylparaben
Ce paraben à longue chaîne est considéré comme perturbateur endocrinien. Tous les parabens ne sont pas à mettre dans le même panier. Ceux à courte chaîne, ethylparaben et methylparaben (et les composés qui contiennent ce nom, comme sodium ethylparaben) ont été blanchis par les experts français et européens. À l’inverse, les plus dangereux (isobutylparaben, isopropylparaben, benzylparaben, pentylparaben, phenylparaben) sont interdits depuis 2014. Propylparaben et butylparaben restent autorisés en tant que conservateurs malgré leurs potentialités toxiques (ainsi que les ingrédients dont le nom composé accole un de ces mots à « sodium » ou « potassium ») Ils ne sont interdits que dans les produits non rincés destinés à être utilisés dans la zone du siège (nettoyants, lingettes, crèmes) mais on en trouve dans des lingettes supposées être utilisées sur le visage ou les mains, entre autres produits.
Tetrasodium edta
Sodium hydroxide
Soutenez-nous, rejoignez-nous
La force d'une association tient à ses adhérents ! Aujourd'hui plus que jamais, nous comptons sur votre soutien.
Nous soutenir