ACTION LOCALE UFC-QUE CHOISIR

Piscine à sec

Pour commander une piscine, un couple s’adresse à une entreprise de Voglans (73). La factures’élève à 21 350 €, dont 5 800 € pour la pose. Afin de limiter les frais, le devis prévoit que le ménage fait son affaire de la pose de la margelle. Le jour venu, l’entrepreneur creuse les fondations de la piscine, y dépose la coque et s’en va, laissant le chantier en l’état, sans mise en eau, sans remblaiement ni raccordements électriques et hydrauliques. Les relances du couple n’y font rien, si bien que peu après la piscine tangue dans son trou aux premières pluies. Tout est à refaire. L’installateur prétend que c’est de la faute de l’acquéreur, qui aurait dû procéder au remplissage de la coque. Pour réparer les dégâts et rendre la piscine utilisable, il exige une rallonge importante au devis initial. Pas d’accord, le ménage saisit l’UFC-Que Choisir d’Aix-les-Bains. Un courrier de l’association locale rappelle à l’installateur qu’il est lié par le devis et doit donc terminer les travaux comme prévu, faute de quoi les clients seront en droit de saisir la justice (art. 1144, code civil). L’installateur est rapidement venu terminer le chantier.

Lire aussi

Soutenez-nous, rejoignez-nous

La force d'une association tient à ses adhérents ! Aujourd'hui plus que jamais, nous comptons sur votre soutien. Nous soutenir

image nous soutenir

Newsletter

Recevez gratuitement notre newsletter hebdomadaire ! Actus, tests, enquêtes réalisés par des experts. En savoir plus

image newsletter