ENQUÊTE
Résidences secondaires

Impôts plein pot !

Avant de succomber à l'appel de la petite maison dans la prairie ou du cabanon les pieds dans l'eau, n'oubliez pas les impôts : car le fisc adore les résidences secondaires qu'il impose de l'achat à la revente, en passant par la location, vous faisant tout juste grâce du droit d'y séjourner !

Coquette gentilhommière en Pays d'Auge, grange aménagée, cabanon en bord de mer, chalet en montagne..., modeste ou luxueuse, la résidence secondaire ne connaît pas la crise : chère au coeur (et au portefeuille) des Français (nous sommes plus de trois millions à en posséder une, nettement plus que la plupart de nos voisins européens), son succès ne se dément pas, quelles que soient les fluctuations du marché de l'immobilier. Avec l'évolution des modes de vie et des moyens de transport, son usage s'est modifié et élargi: grâce au TGV et aux trente-cinq heures, l'un réduisant les distances, les autres, le temps de travail, la résidence secondaire dédiée aux congés de fins de semaine et aux vacances s'est transformée en « résidence alternative », celle où l'on vit désormais une bonne moitié du temps, presqu'autant que dans son habitation principale. Ce qu'elle est d'ailleurs souvent appelée à devenir quand sonne l'heure de la retraite. Mais si, pour le commun des mortels, la résidence secondaire est synonyme de villégiature à la campagne ou à la mer, il n'en va pas de même pour l'administration fiscale, qui n'en donne aucune définition si ce

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Hélène Martin

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