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Roselyne Poznanski
Faire face émotionnellement au décès de son conjoint, de son partenaire de pacs ou de son concubin n’a rien d’évident. Le supporter financièrement non plus, d’où l’importance de faire valoir ses droits au mieux.
Des idées reçues laissent à penser que l’on est systématiquement bien épaulé par les organismes sociaux, Sécurité sociale en tête, au décès de son conjoint. Mais le survivant se retrouve assez vite confronté à la réalité, voire à la brusquerie des démarches pour bénéficier – sous certaines conditions – d’aides plus ou moins généreuses destinées à rééquilibrer une perte de ressources évidente. Dans tous les cas, les capitaux perçus ne sont ni imposables ni soumis aux contributions sociales (contrairement aux éventuelles rentes de conjoint). Et les montants versés sont liés au statut du défunt, ce qui engendre des différences surprenantes, si ce n’est choquantes. Tour d’horizon (non exhaustif) de la situation.
Lorsqu’un salarié décède alors qu’il est en activité (ou en période de maladie, de congé maternité ou paternité…), ou qu’il perçoit une pension d’invalidité ou encore une rente d’accident du travail avec une incapacité supérieure aux deux tiers, des aides financières peuvent être perçues. Un capital décès, nommé « secours d’urgence », est ainsi versé par la Caisse nationale d’assurance maladie (Cnam) au conjoint ou au partenaire de pacs s’il est considéré comme
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