Première ville américaine desservie par les low cost au départ de la France, New York est aujourd’hui accessible à des tarifs inimaginables il y a quelques années. Nous avons testé deux des compagnies présentes sur le marché. Nos impressions sont mitigées.
À gauche. C’est le moment d’embarquer. À l’aller, l’avion n’est pas complètement plein, malgré un prix du billet défiant toute concurrence. - À droite. Un écran, de l’espace : l’avion de Norwegian est confortable.
« C’est vraiment pas mal, je ne m’attendais pas à avoir un écran individuel » : à peine entré dans le Boeing 787 Dreamliner qui nous conduira à New York ce jeudi 5 octobre, notre voisin de siège n’hésite pas à montrer son enthousiasme. Ingénieur chez Safran – « nous avons fabriqué les freins de cet appareil », précise-t-il –, il est pourtant habitué à voyager. Nous sommes sur Norwegian, la première compagnie à s’être lancée sur ce marché. En un an, elle a transporté 200 000 passagers entre la France et les États-Unis, avec un prix d’appel, pour New York, de 159 €. Ce vol, réservé tout juste un mois avant le départ, coûtait 199 € en aller simple. Un prix qui laissait présager des prestations rudimentaires. Mais le fauteuil est confortable et l’espace pour les sièges (78-81 cm) équivalent à celui des avions Air France. Autre bon point :
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