ENQUÊTE
Rénovation énergétique

Des aides et des travaux mal calibrés

Massifier la rénovation énergétique des logements, c’est le mot d’ordre officiel incarné par MaPrimeRénov’. Mais entre la complexité des aides, le risque d’arnaques et l’incertitude sur les résultats, les ménages ont de quoi se décourager.

La rénovation énergétique globale, tout le monde en parle, à commencer par les ministres de la Transition écologique et du Logement. C’est d’ailleurs l’un des objectifs majeurs du dispositif MaPrime Rénov’, en place depuis le 1er janvier. Il faut dire qu’il y a de quoi faire. Alors que la stratégie bas carbone révisée au printemps a confirmé l’ambition d’avoir un parc immobilier intégralement rénové en basse consommation d’ici à 2050, soit en classe énergétique A ou B (sur une échelle allant jusqu’à G), la dynamique ne prend pas. Si elle a vraiment débuté dans le secteur HLM, le plus avancé en matière de rénovation performante, le privé reste à l’écart. Entre les copropriétés, qui regroupent 28 % des logements, et les 60 % de maisons individuelles, l’essentiel du marché résiste. Pourtant, un pavillon sur deux ayant été construit avant 1975, environ 8 millions d’entre eux sont de véritables « passoires énergétiques ».

Des chantiers qui ne réduisent guère la facture d’énergie

Certes, les propriétaires font des améliorations, mais la dernière étude de l’Agence de la transition écologique (Ademe) sur les ménages ayant engagé des travaux de rénovation

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Élisabeth Chesnais

Élisabeth Chesnais

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