À pied, du rivage, sur un bateau ou sous l’eau, la pêche récréative maritime est pratiquée par environ 2,5 millions de personnes en France. Aussi son impact sur la ressource n’est-il pas négligeable. Voici les règles de base pour respecter l’environnement.
Vente interdite
Il est interdit de vendre les produits issus de sa pêche. Enfreindre cette interdiction peut coûter très cher, jusqu’à 22 860 €, montant qui peut être doublé en cas de récidive.
Déclaration conseillée
En 2012, le ministère de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie a ouvert un site Internet de déclaration d’activité (pechedeloisir.application.developpement-durable.gouv.fr). Si vous êtes amateur de pêche récréative, vous pouvez vous y inscrire. La démarche reste facultative mais permet de recevoir des informations sur la réglementation en vigueur, la sécurité et les bonnes pratiques.
Marquage obligatoire de certaines espèces
Quel que soit le type de pêche de loisir pratiqué, et afin d’éviter le braconnage, les pêcheurs doivent marquer certaines espèces parmi les plus recherchées, entre autres le bar, la dorade royale, le lieu jaune, le maquereau ou la sole. Ce marquage consiste en l’ablation de la partie inférieure de la nageoire caudale. Il doit être effectué dès la capture, sauf pour les spécimens conservés vivants à bord d’une embarcation avant d’être relâchés.
Tailles minimales à respecter
L’arrêté du 26 octobre
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