par Dominique Renaud
Acheter pour louerAmortissement: Robien-Borloo, ce qui change
Une fois de plus, un dispositif d'amortissement chasse l'autre. Bye, bye Robien. Bonjour, « Robien recentré » et « Borloo ». Non pas que nos ministres successifs cherchent à tout prix à marquer de leur nom l'histoire de l'investissement locatif, mais parce qu'en la matière, la valse hésitation (un pas en avant, un pas en arrière) semble être la règle.
Curieux mouvement de balancier qui, depuis vingt ans, voit les pouvoirs publics proposer, en matière d'investissement immobilier, des régimes fiscaux très généreux suivis d'un sérieux tour de vis pour les rendre moins alléchants lorsqu'ils en découvrent les effets pervers. Avec ses maxi avantages fiscaux et ses mini contraintes, le dispositif Robien a fini par choquer une opinion publique lassée de la folle escalade des loyers. Et ce qui devait arriver... vient d'arriver. Le dispositif Robien a subi un bon coup de rabot sur ses aspects les plus négatifs... ce qui le rend moins attractif.
Deux Robien, un Borloo, trois dispositifs cohabitent aujourd'hui pour régir la fiscalité de l'investissement locatif, voire neuf si l'on compte les plus anciens(1), qui continuent de produire leurs effets. L'optimisation fiscale de votre placement immobilier passe donc forcément par le choix de l'un d'entre eux.
Robien, c'est trop bien
Au commencement, c'est-à-dire en janvier 2003(1), Gilles de Robien, alors ministre du
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Dominique Renaud
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