Test Skoda Karoq 1.5 TSI 150 ch ACT DSG7
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Jʼaccède au comparatifAvis du testeur
Que Choisir aime
- Habitacle modulable ;
- Richesse de l’équipement en général ;
- Équipement de sécurité en particulier ;
- Performances ;
- Comportement routier.
Que Choisir regrette
- Moteur assez peu raffiné ;
- Châssis bruyant ;
- Ergonomie du système d’infotainment Columbus.
Fin 2016, Skoda lance son SUV dénommé Kodiaq, long de 4,7 m. Un an plus tard, le constructeur agrandit la famille en commercialisant un modèle compact, le Karoq, plus court de 32 cm et destiné à remplacer le Yeti, âgé de 8 ans. Le nouveau venu s’aventure donc sur un terrain très concurrentiel où les modèles à succès ne manquent pas : Peugeot 3008, Kia Niro, Renault Kadjar, Nissan Qashqai, mais aussi Volkswagen Tiguan et Seat Ateca, ses deux cousins au sein du groupe VAG avec lesquels il partage de nombreux éléments mécaniques. Le Karoq compte pourtant bien se faire une place au soleil grâce à ses qualités, spécifiques à la marque, alliant pragmatisme, technologie et prix.
Le choix de la motorisation du Karoq se fait parmi deux essences et deux diesels. Pour l’essence, il s’agit des 1.0 TSI 116 ch et 1.5 TSI ACT 150 ch et pour le diesel, des 1.6 TDI 116 ch et 2.0 TDI 150 ch. Cette dernière version est la seule à être équipée de la transmission intégrale (4x4), les autres devant se contenter de l’habituel 4x2.
La boîte de vitesses peut être soit manuelle, soit robotisée à double embrayage (DSG7). Le Karoq est disponible en 3 niveaux de finition : Ambition, Business et Style. À noter que la finition Business, dédiée aux entreprises, peut aussi être commandée par les particuliers.
Nous avons testé le Karoq en motorisation à essence 1.5 TSI ACT de 150 ch, avec boîte DSG7, en finition haut de gamme Style.
Yves Martin
Lars Ly
Rédacteur technique
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