Internet et courrielsSurfez vert
Aller sur Internet et échanger des mails engendre des dépenses d’énergie. Apprendre à les maîtriser permet de limiter son impact environnemental.
Selon l’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie), un petit millier de recherches Internet par Français et par an correspond, en équivalent CO2, à plus de 1,5 million de kilomètres parcourus en voiture. Et d’après ses simulations faites sur une entreprise de 100 personnes, de légères modifications d’habitudes (10 % de mails collectifs en moins, ou d’impression de ces courriels) se chiffrent en équivalents Paris-New York en avion. À la maison et au travail, demandons-nous si tous nos mails et toutes nos recherches sont indispensables. Quand c’est le cas, de bons réflexes permettent d’économiser l’énergie.
Les recherches sur Internet
Elles nécessitent une série d’étapes qui toutes génèrent une transmission de données, donc de l’énergie. Dans le détail : vous allez sur un moteur de recherche, il affiche sa page d’accueil, vous envoyez votre requête par mots-clés, les serveurs consultent les données indexées par les moteurs de recherche, les traitent puis retransmettent leurs pages de résultats. Vous cliquez sur le lien qui vous intéresse. Une des solutions ? Aller directement à l’adresse d’un site. Plutôt que de la taper dans la barre d’adresse, ce qui occasionne des erreurs, mieux vaut l’enregistrer dans vos sites favoris. Selon l’Ademe, cela divise par quatre la dépense
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