
Les solutions pour faire surveiller son logement
Pour beaucoup, le marché de l'alarme et de la télésurveillance sent encore le soufre. Vente agressive, matériel en panne, prestations non assurées : les griefs ne manquent pas. À coup de modèles de contrats et de chartes, les syndicats professionnels tels l'ADMS (1) et le GPMSE (2) assurent pourtant qu'ils clarifient la profession.
Les mirages de la télésurveillance
Entre les promesses et la réalité, il peut y avoir une belle marge...
Les prestations
Quand l'alarme sonne chez un abonné, la société de télésurveillance est simultanément informée. Après avoir vérifié que son déclenchement n'est pas accidentel (procédure de levée de doute), l'opérateur suit les instructions établies lors de la signature du contrat. Ainsi, il demande à un voisin, un proche ou encore un agent d'intervention (le déplacement inutile est facturé au client autour de 45 euros) de se rendre sur place.
Attention : seules les sociétés qui ont cotisé pour avoir un numéro d'appel réservé police/gendarmerie ont le droit de prévenir directement les forces de l'ordre après le déclenchement - fondé - d'une alarme chez un de leurs clients. Or, de nombreux contrats restent flous sur ce point. Peut-être parce que, selon l'ADMS, très peu de sociétés ont en fait souscrit ce numéro réservé (vérifications à effectuer auprès de la préfecture).
Les contrats
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