ENQUÊTE

Acheter en jardinerieUn bon plan ?

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par Pauline Gabinari, Gaëlle Lebourg, Ivan Logvenoff

Confinements et télétravail ont donné aux Français l’envie de réinvestir leur jardin ou leur balcon. Les jardineries en ont profité, mais avec le retour à la normale et l’inflation, leurs ventes reculent. Pour compenser, elles augmentent leurs prix. Elles font aussi évoluer leurs stratégies, afin d’élargir leur cible et l'inciter à dépenser. Reste qu’il n'est pas nécessaire de se ruiner pour profiter d’un joli coin de verdure…

Marseille. Employé depuis 10 ans chez Truffaut, Maxime Mollari se souvient de l’après-covid : les allées bondées, les clients repartant avec plantes, pots et terreau et, surtout, un grand soleil d’avril – une époque où la météo était clémente au printemps. Or, depuis, la situation a bien changé. « Les deux dernières années ont vraiment été mauvaises. La jardinerie n’est plus une priorité pour le consommateur », déplore-t-il. Son regret se traduit en chiffres. Selon une étude réalisée par l’institut Kantar, la quantité moyenne par foyer client est tombée à 23 plantes achetées en 2023, contre 32 en 2021. Une chute libre qui s’est poursuivie l’an dernier. D’après la Fédération des jardineries et animaleries de France, le secteur aurait vu ses ventes baisser de 4 % en 2024. Résultat, pour compenser, le prix moyen par végétal est passé de 4,10 à 5,17 € entre 2021 et 2023. Soit une augmentation de plus de 20 %… Il aurait d’ailleurs

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