Cafouillage du loueur

Publié le : 26/08/2008 

L.B., de Saint-Cloud, loue un véhicule utilitaire chez Ucar. Lorsqu'il le restitue, à part une remarque verbale du loueur, aucun document constatant un dégât n'est soumis à sa signature. Pourtant, trois semaines après, un appel téléphonique l'informe d'un choc dont l'expert aurait fixé la réparation à 478 euros. Et son compte est débité du même montant à partir de l'empreinte de sa carte bancaire. L. B. contacte aussitôt l'UFC-Que Choisir de Saint-Cloud, qui demande à Ucar de restituer les 478 euros abusivement prélevés. Dans son courrier, l'association locale souligne qu'il aurait fallu d'une part une constatation signée des dégâts lors du rendu du véhicule par le client, d'autre part un justificatif prouvant que la réparation avait été faite avant une nouvelle location. Faute de ces éléments, Ucar a remboursé les 478 euros.

Jean-Paul Geai