
Une signature, ça se vérifie
À la réception de son relevé mensuel de la Banque postale, Mme D. constate un débit de 2 895 euros. Après recherche, elle découvre qu'un avis de virement lui a été dérobé par un « ami » indélicat. Sa banque lui rappelle qu'elle est responsable de la garde de ses moyens de paiement mais accepte de prendre en charge la moitié du préjudice subi et les frais de découvert. La cliente contacte l'UFC-Que Choisir de Caen, qui rappelle à la Banque postale son obligation de vérifier les signatures. Un arrêt de la Cour de cassation dit que tout chèque entaché d'une fausse signature doit être remboursé par la banque. Peu après, Mme D. percevait 2 895 euros.
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