ENQUÊTE

Étiquette énergieUn repère utile mais pas sans défauts

BD

par Benjamin Douriez

Présente sur l’électroménager ou le high-tech, l’étiquette énergie permet de repérer les modèles gaspillant le moins d’énergie. Mais mal interprétée, elle peut conduire à choisir des appareils trop gourmands. Un sacré paradoxe ! Et elle passe sous silence les enjeux de durabilité des appareils.

Un code couleur et une note : l’étiquette énergie a le mérite d’être simple à comprendre. D’un coup d’œil, elle permet de distinguer les appareils les plus sobres (en vert, et généralement notés A) des plus énergivores (en rouge, et pouvant être classés jusqu’à F ou G). Mais sous son apparente simplicité, elle peut aussi s’avérer piégeuse pour le consommateur souhaitant verdir ses achats d’appareils pour la maison. Créée par la Commission européenne pour les réfrigérateurs il y a plus de 30 ans, elle est désormais obligatoire pour une quinzaine de familles de produits grand public : appareils de lavage, de cuisson ou encore produits high-tech, les smartphones et tablettes étant les derniers à avoir rejoint la liste en juin 2025.

Elle a contribué à la réduction spectaculaire des consommations d’eau et d’énergie de certains appareils. Selon la Commission européenne, en 30 ans, les lave-linge ont connu une baisse de 40 % de leur consommation d’électricité et de 52 % de leur consommation d’eau imputables à l’étiquette énergie et aux règles d’écoconception. La fameuse échelle

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