Porte envolée
Un couple de Charente-Maritime achète, pour un montant de 1 355 € auprès de la société DBMA, une porte de garage « sectionnelle ». À la livraison, la porte ne correspond pas aux critères fixés à la commande. Un accord est passé avec DBMA pour mettre la porte en dépôt-vente. Le particulier trouve un acquéreur mais ne peut récupérer la porte, car elle a disparu des stocks de l’entreprise. Devant le refus de DBMA de rembourser le couple, celui-ci saisit l’UFC-Que Choisir de Charente-Maritime de son problème. Un simple courrier de l’association locale auprès de l’entreprise a suffi pour que celle-ci rembourse intégralement ses clients.