À bon entendeur…

Les prothèses auditives de M^me F., une habitante de l’Essonne, ­fonctionnent mal, malgré cinq retours chez le fabricant. L’audioprothésiste du magasin ­d’optique où ont été achetés les ­appareils ne ­parvient pas à les réparer. Le bip, ­témoin d’usure des piles, se déclenche même quand les piles sont neuves. La cliente confie ses déboires à l’UFC-Que Choisir du Val d’Yerres, qui écrit au vendeur. Celui-ci refuse de reconnaître la défaillance des appareils mais fait suivre le courrier au fabricant qui lui en prête pendant deux mois (sans bip). Mais ce n’est guère mieux. Un nouveau courrier est alors adressé directement au fabricant, qui accepte de fournir de nouvelles prothèses. Ténacité récompensée, tout fonctionne ­correctement… 2 ans et 9 mois plus tard.