LCL traînait les pieds
Monsieur B. et son épouse, de Malakoff, avaient souscrit une assurance décès auprès de LCL (ex-Crédit lyonnais). Quand sa femme disparaît, monsieur B. demande l'application du contrat. Commence alors un vrai parcours du combattant. LCL exige d'abord un compte rendu d'hospitalisation qu'il fournit, puis un compte rendu d'examens... puis un autre document... Un an après, rien n'étant réglé, monsieur B. contacte l'UFC-Que Choisir de Malakoff. Dans un courrier recommandé, l'association locale s'étonne d'une telle lenteur : « Pourquoi ne pas réclamer tous les papiers nécessaires en même temps ? Pour lasser le client et espérer classer le dossier sans suite ? » Quelques jours après, miracle, le dossier était réglé !