Que Choisir aime
- Coût à la page réduit même en utilisation occasionnelle
- Rapidité d’impression
- Équipement : télécopie, chargeur de documents (50 pages), bac à papier d’une capacité de 500 feuilles, écran couleur tactile et recto-verso automatique
- Connectivité : wi-fi, Ethernet, impressions mobiles et NFC
Avis détaillé
Comme l’Officejet Pro 8610 d’HP, l’Officejet Pro 8620 est une imprimante 4 en 1 (impression, copie, scan et télécopie) destinée aux utilisateurs intensifs, car cette multifonction imposante est dotée d’un chargeur de documents (50 pages), d’un bac à papier d’une capacité de 500 feuilles, d’un grand écran couleur tactile et du recto-verso automatique. Au niveau connectivité, on retrouve le wi-fi, l’Ethernet, les impressions mobiles (HP ePrint et Apple Airprint) et le petit « plus » de ce modèle : le NFC (Near Field Communication : communication sans contact de courte portée). Le gros avantage mis en avant par HP pour sa gamme Officejet Pro est le « coût à la page jusqu’à 50 % inférieur à celui de l’impression laser ».
Cette imprimante ravira les plus pressés, car elle accomplit les taches rapidement avec des résultats généralement satisfaisants (malgré un léger manque de netteté) : comptez 21 secondes pour 5 pages de texte et 1 minute 30 secondes pour une photo A4. Les scans et copies sont vite obtenus : digitalisation d’une photo A4 en 7 secondes et copie couleur en 32 secondes, ce qui est encore plus rapide que la multifonction HP Officejet Pro 8610.
En utilisant les cartouches grande capacité, nous avons calculé des coûts à la page très bas : moins de 20 centimes les 10 pages de texte ou la photo 10 × 15. Dans ce cas, on est donc effectivement au-dessous des coûts à la page moyens des imprimantes lasers, qui tournent autour de 50 centimes pour les 10 pages de texte et 30 centimes pour les photos 10 × 15. C’est la signature des imprimantes Officejet Pro. Mais ces valeurs ne sont atteintes que par des utilisateurs intensifs. Lors d’une utilisation plus modérée de cette imprimante imposante, on se rapproche des coûts normaux des lasers.