Erwan Seznec
Prendre le train avec son vélo
Avec la SNCF, c'est possible, mais pas partout, pas toujours et pas n'importe comment !
Le vélo démonté dans une housse
C'est la solution la plus sûre. Vous embarquerez votre vélo à bord de n'importe quel train sans aucun supplément. Il sera considéré comme un bagage ordinaire. Il tiendra sans difficulté dans les compartiments aux extrémités des voitures de TGV ou de Corail. La housse ne doit pas excéder 90 cm x 120 cm. On en trouve dans les magasins de sport ou de cycles à partir de 60 euros. Il existe également des valises à vélo, mais elles coûtent cher et sont très lourdes. Réservez-les pour les voyages en avion. La housse a aussi ses inconvénients : vous devez démonter les roues ; les vélos avec porte-bagages tiennent parfois difficilement. Et si vous partez en randonnée, vous vous retrouvez à la descente du train avec une housse vide assez encombrante !
Le vélo entier
Dans un TGV. La situation est assez confuse. Les TGV duplex n'embarquent pas de vélo non démonté. Les TGV Atlantique le font rarement, les TGV Sud-Est parfois, les TGV Est souvent, les TGV vers la Suisse et le Luxembourg, presque systématiquement. Lorsque les emplacements sont prévus, il vous en coûtera 10 euros, avec réservation obligatoire. Attention, les places sont très limitées (quatre pour toute la rame !), d'où un risque de saturation en période de pointe.
Dans un Corail Téoz ou Lunéa (train de nuit). Chaque Téoz
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