Test Cybex Anoris T2 i-Size
Prix indicatif 800 €
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Évaluation Que Choisir
Poids
Sécurité
Nos essais s’inspirent de la norme en vigueur R129, mais ils se veulent plus sévères et plus réalistes, les courbes d’accélérations étant issues des essais de crash-tests Euro NCAP. Nous avons ainsi utilisé une vraie carrosserie de voiture pour le choc frontal, en augmentant la puissance de l’impact par rapport à celui des textes officiels. Pour le choc latéral, nous avons réduit l’intrusion de la porte mais augmenté l’accélération subie lors de l’impact.
Facilité d'emploi
Confort
Santé et environnement
Ce critère n’est pas pris en compte dans le calcul de la note finale, mais peut limiter la note globale dans les cas extrêmes. Il est basé sur la présence et la quantité de substances toxiques pour l’homme et/ou dangereuses pour l’environnement dans les produits testés.
Des prélèvements et des mesures sont effectués dans les parties du siège en contact avec l’enfant : la housse et le harnais.
Les substances recherchées se divisent en 7 familles :
Les HAP
Les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) sont une famille de molécules constituées d’atomes de carbone et d’hydrogène. Ils peuvent être toxiques pour la reproduction, cancérigènes et mutagènes (ils influent sur les gènes). Le benzo(a)pyrène (B(a)P) est l’un des plus toxiques. Les HAP peuvent être d’origine naturelle (contenus dans les huiles minérales et les produits fabriqués à partir de ces huiles) ou issus de la combustion incomplète de matériaux organiques. Par exemple, les moteurs diesels non équipés d’un filtre à particules émettent des HAP. Ces substances sont utilisées dans la fabrication du plastique, du caoutchouc et des peintures. Elles servent notamment dans la fabrication de matériaux synthétiques colorés en noir (poignées de vélo, d’outils…). Le transfert de HAP dans le corps humain se fait principalement par contact avec la peau. Il serait augmenté par la présence de transpiration ou de produits cosmétiques.
Les phtalates utilisés dans les plastifiants
Les phtalates sont un groupe de produits chimiques dérivés de l’acide phtalique. On les trouve dans les plastifiants utilisés pour rendre de nombreux matériaux synthétiques plus souples, et aussi dans certains tissus, pour les rendre plus résistants et plus souples également. Ces substances sont donc très répandues dans les produits de consommation amenés à entrer en contact avec la peau : imperméables, bouées gonflables, jouets, revêtements de sol et muraux, similicuir, produits médicaux (contenants), poignées de transport, etc. Les phtalates sont peu solubles dans l’eau, mais le sont dans la graisse et s’accumulent dans les tissus vivants. Certains phtalates sont toxiques pour la reproduction et suspectés d’être cancérigènes. En outre, les phtalates sont nocifs pour la faune aquatique. La migration peut se faire par ingestion et par contact. Par contact, on suspecte qu’elle est favorisée par la présence de transpiration ou de crèmes cosmétiques. La réglementation française varie selon le type de produit. Par exemple, l’utilisation de certains phtalates est interdite dans les jouets et articles de puériculture car les enfants risquent de les ingérer. Dans les cosmétiques, le DEHP (phtalate dont le potentiel toxique est le plus élevé) est interdit. Mais pour la majorité des matières plastiques, il n’existe aucune réglementation.
Les retardateurs de flamme
L’appellation « retardateur de flamme » décrit une fonction que possèdent une grande variété de substances chimiques : l’amélioration du comportement vis-à-vis du feu des matériaux combustibles. Certaines d’entre elles sont toxiques. Parmi les retardateurs de flamme qui nous intéressent, on compte les agents ignifuges bromés (les BFR) et ceux contenant du phosphore (les PFR). Certains BFR sont toxiques en cas d’inhalation, contact et/ou ingestion. Ils s’accumulent dans l’environnement et dans les tissus animaux. L’exposition à long terme peut causer des dégâts du système nerveux, reproductif et endocrinien. Les PFR sont une alternative moins toxique aux BFR. Ils sont largement utilisés dans les résines thermoplastiques et thermodurcissables, les mousses polyuréthanes, les peintures et les textiles. Leur toxicité est modérée mais certains sont suspectés d’être cancérigènes à cause de la bioaccumulation.
Les composés phénoliques
Les composés phénoliques sont utilisés dans la fabrication des plastiques. Nous les trouvons dans les bouteilles en plastique, les biberons, les couverts en plastique, le revêtement intérieur des boîtes de conserve, etc. Ils peuvent être toxiques par contact avec la peau ou par ingestion, perturbateurs endocriniens… Par exemple :
- le phénol est toxique par contact avec la peau et par ingestion. Il est corrosif. Il possède la capacité de migrer dans les aliments ;
- le bisphénol A est un perturbateur endocrinien : il est capable d’imiter les hormones du corps, ce qui peut conduire à des effets négatifs sur la santé. Des études montrent qu’il aurait des effets négatifs sur le développement du nourrisson et particulièrement de son cerveau ;
- le nonylphénol est également un perturbateur endocrinien.
Le formaldéhyde
Le formaldéhyde est un agent de conservation. On le trouve surtout dans les tissus en coton et dans les mélanges de coton et de polyester. Gazeux à l’état naturel, il est très soluble dans l’eau. Les matériaux qui en contiennent le relâchent sous forme gazeuse. La contamination peut se faire par inhalation ou par voie cutanée. Ce produit irritant est suspecté d’être cancérigène et toxique par inhalation, contact avec la peau et ingestion.
Les métaux lourds
Les métaux lourds sont par définition toxiques. Ils peuvent être présents dans les retardateurs de flamme, le plastique (PET), les pigments, les colorants, les insecticides et pesticides, etc. Nous en recherchons la présence dans le siège, en particulier celle de cadmium et de plomb.
Les colorants
Les housses font l’objet de collections et le choix des couleurs et des motifs est parfois riche pour un même modèle. L’emploi de colorants dans la housse nous a amenés à rechercher la présence de ceux qui sont considérés comme toxiques.
Les PFAS
Les PFAS sont des substances chimiques utilisées dans de nombreux produits de consommation en raison de leurs propriétés antiadhésives, imperméabilisantes et résistantes aux hautes températures. Depuis leur apparition dans les années 1950, les PFAS contaminent l’environnement et nos organismes : ils sont non seulement polluants mais aussi nocifs pour la santé. Ce sont d’ailleurs des polluants éternels : ils s’éliminent très lentement.
Des prélèvements et des mesures sont effectués dans les parties du siège en contact avec l’enfant : la housse et le harnais.
Les substances recherchées se divisent en 7 familles :
Les HAP
Les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) sont une famille de molécules constituées d’atomes de carbone et d’hydrogène. Ils peuvent être toxiques pour la reproduction, cancérigènes et mutagènes (ils influent sur les gènes). Le benzo(a)pyrène (B(a)P) est l’un des plus toxiques. Les HAP peuvent être d’origine naturelle (contenus dans les huiles minérales et les produits fabriqués à partir de ces huiles) ou issus de la combustion incomplète de matériaux organiques. Par exemple, les moteurs diesels non équipés d’un filtre à particules émettent des HAP. Ces substances sont utilisées dans la fabrication du plastique, du caoutchouc et des peintures. Elles servent notamment dans la fabrication de matériaux synthétiques colorés en noir (poignées de vélo, d’outils…). Le transfert de HAP dans le corps humain se fait principalement par contact avec la peau. Il serait augmenté par la présence de transpiration ou de produits cosmétiques.
Les phtalates utilisés dans les plastifiants
Les phtalates sont un groupe de produits chimiques dérivés de l’acide phtalique. On les trouve dans les plastifiants utilisés pour rendre de nombreux matériaux synthétiques plus souples, et aussi dans certains tissus, pour les rendre plus résistants et plus souples également. Ces substances sont donc très répandues dans les produits de consommation amenés à entrer en contact avec la peau : imperméables, bouées gonflables, jouets, revêtements de sol et muraux, similicuir, produits médicaux (contenants), poignées de transport, etc. Les phtalates sont peu solubles dans l’eau, mais le sont dans la graisse et s’accumulent dans les tissus vivants. Certains phtalates sont toxiques pour la reproduction et suspectés d’être cancérigènes. En outre, les phtalates sont nocifs pour la faune aquatique. La migration peut se faire par ingestion et par contact. Par contact, on suspecte qu’elle est favorisée par la présence de transpiration ou de crèmes cosmétiques. La réglementation française varie selon le type de produit. Par exemple, l’utilisation de certains phtalates est interdite dans les jouets et articles de puériculture car les enfants risquent de les ingérer. Dans les cosmétiques, le DEHP (phtalate dont le potentiel toxique est le plus élevé) est interdit. Mais pour la majorité des matières plastiques, il n’existe aucune réglementation.
Les retardateurs de flamme
L’appellation « retardateur de flamme » décrit une fonction que possèdent une grande variété de substances chimiques : l’amélioration du comportement vis-à-vis du feu des matériaux combustibles. Certaines d’entre elles sont toxiques. Parmi les retardateurs de flamme qui nous intéressent, on compte les agents ignifuges bromés (les BFR) et ceux contenant du phosphore (les PFR). Certains BFR sont toxiques en cas d’inhalation, contact et/ou ingestion. Ils s’accumulent dans l’environnement et dans les tissus animaux. L’exposition à long terme peut causer des dégâts du système nerveux, reproductif et endocrinien. Les PFR sont une alternative moins toxique aux BFR. Ils sont largement utilisés dans les résines thermoplastiques et thermodurcissables, les mousses polyuréthanes, les peintures et les textiles. Leur toxicité est modérée mais certains sont suspectés d’être cancérigènes à cause de la bioaccumulation.
Les composés phénoliques
Les composés phénoliques sont utilisés dans la fabrication des plastiques. Nous les trouvons dans les bouteilles en plastique, les biberons, les couverts en plastique, le revêtement intérieur des boîtes de conserve, etc. Ils peuvent être toxiques par contact avec la peau ou par ingestion, perturbateurs endocriniens… Par exemple :
- le phénol est toxique par contact avec la peau et par ingestion. Il est corrosif. Il possède la capacité de migrer dans les aliments ;
- le bisphénol A est un perturbateur endocrinien : il est capable d’imiter les hormones du corps, ce qui peut conduire à des effets négatifs sur la santé. Des études montrent qu’il aurait des effets négatifs sur le développement du nourrisson et particulièrement de son cerveau ;
- le nonylphénol est également un perturbateur endocrinien.
Le formaldéhyde
Le formaldéhyde est un agent de conservation. On le trouve surtout dans les tissus en coton et dans les mélanges de coton et de polyester. Gazeux à l’état naturel, il est très soluble dans l’eau. Les matériaux qui en contiennent le relâchent sous forme gazeuse. La contamination peut se faire par inhalation ou par voie cutanée. Ce produit irritant est suspecté d’être cancérigène et toxique par inhalation, contact avec la peau et ingestion.
Les métaux lourds
Les métaux lourds sont par définition toxiques. Ils peuvent être présents dans les retardateurs de flamme, le plastique (PET), les pigments, les colorants, les insecticides et pesticides, etc. Nous en recherchons la présence dans le siège, en particulier celle de cadmium et de plomb.
Les colorants
Les housses font l’objet de collections et le choix des couleurs et des motifs est parfois riche pour un même modèle. L’emploi de colorants dans la housse nous a amenés à rechercher la présence de ceux qui sont considérés comme toxiques.
Les PFAS
Les PFAS sont des substances chimiques utilisées dans de nombreux produits de consommation en raison de leurs propriétés antiadhésives, imperméabilisantes et résistantes aux hautes températures. Depuis leur apparition dans les années 1950, les PFAS contaminent l’environnement et nos organismes : ils sont non seulement polluants mais aussi nocifs pour la santé. Ce sont d’ailleurs des polluants éternels : ils s’éliminent très lentement.
Caractéristiques Cybex Anoris T2 i-Size
Prix du siège seul
Il s'agit du prix du siège seul pour les modèles testés avec une base.
|
800 €
|
---|---|
Prix de la base
Il s'agit du prix de la base seule pour les modèles testés avec une base.
|
n. a.
|
Norme d'homologation |
R129
|
Groupe ou équivalent |
Groupe 1/2
|
Poids (si R44-04) ou taille (si R129) de l'enfant |
Enfant de 76 à 125 cm
|
Mode d'installation de la configuration testée |
Siège Isofix
L'utilisation du système d'ancrage Isofix est nécessaire dans tous les cas de figure, parfois conjointement avec la ceinture de sécurité.
|
Siège pivotant |
Non
|
Lars Ly
Rédacteur technique
La sélection de produits ou services est représentative du marché, bien que non-exhaustive. À l’exception des autorisations données par Bureau Veritas Certification conformément aux règles de La Note Que Choisir, il n’existe aucune relation contractuelle entre l’UFC-Que Choisir et les professionnels référencés.