Assurances affinitaires

Sommaire de l'étude et des propositions de l'UFC-Que Choisir sur le thème

I. Introduction : une réalité et une couverture mal estimée

II. L’exemple emblématique : les assurances moyens de paiement

1. Une assurance qui équipe au moins 50% des consommateurs via les packages

2. Une assurance inutile depuis la transposition de la Directive sur les Moyens de Paiement

a. La Directive sur les Moyens de Paiement (2007, transposée en 2009)

b. Face à la Directive, des garanties supplémentaires (couverture des clefs, des papiers, des

espèces) totalement « cosmétiques »

3. Des prix d’assurance sans lien avec le risque réellement encouru par les consommateurs

a. Une baisse des risques et des montants moyens fraudés

b. … Mais aucune cohérence des tarifs de ces assurances, ni dans le temps, ni sur le territoire

4. Au final, l’assurance… de revenus massifs pour les banques

III. Un nouvel eldorado : les assurances fuites d’eau

1. Conditions de vente

a. Un démarchage massif, ambigu, indifférencié

b. Une proximité entre compagnie d’eau et distributeur favorisant les souscriptions d’office

c. Entre doublon et progrès légaux, une utilité contestable

2. Face aux doublons, une utilité très relative des assurances de ces deux compagnies

a. Couverture par l’assurance multirisque habitation (MRH)

b. Couverture par la loi du 17 mai 2011

c. Les nouveaux contrats : des progrès ou non ?

d. Quelle reprise des anciens contrats en portefeuille, où perdurent les doublons légaux ?

e. Les conditions de résiliation de ces contrats

3. Des assurances extrêmement rentables : étude du cas Doméo

a. Doméo, une ancienne filiale de Veolia gérant près de 2 millions de contrats

b. Etude du compte de résultat de Doméo : une marge brute de 28%

c. … Qui cache un reversement aux assurés de seulement 15,7% !

IV. Conclusions

V. Les demandes de l’UFC-Que Choisir

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N.B. : Retrouvez le Communiqué de Presse "Petites assurances, de gros défaut à corriger" relatif à cette étude