Attention : cette page concerne un produit archivé qui n’est plus proposé à la vente.
Nous mettons gratuitement à votre disposition l’avis du testeur, néanmoins, le palmarès et les évaluations ont été supprimés car ils ne sont plus représentatifs des performances qu’un utilisateur peut attendre d’un produit récent.
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BMW Navigation Multimedia Professional (518D)

Mis à jour le : 30/01/2018
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Que Choisir aime
- Écran principal très grand sur lequel on peut aussi lire des DVD ou naviguer sur Internet
- Deuxième écran dans le champ de vision (au niveau du volant)
- Processeur très puissant
Que Choisir regrette
- Pas de page d’accueil
- Structure de menu difficile à comprendre
- Informations éparpillées entre les deux écrans
- Navigation dans les menus avec un joystick qui demeure moins rapide qu’un écran tactile
- Mauvais choix de couleur de la cartographie qui la rend parfois difficilement lisible
Avis détaillé
La première chose que l’on remarque en prenant place dans la BMW équipée du GPS embarqué Navigation Multimedia Professional, c’est la taille impressionnante de l’écran, plus de 26 cm de diagonale. Pour en faciliter la lecture, il est légèrement orienté vers le conducteur. C’est, avec le modèle Renault, le seul système intégrant une carte SIM permettant l’accès à l’info trafic en temps réel (l’abonnement est compris chez BMW contre six mois gratuits chez Renault). Ce système permet aussi la lecture de DVD et la navigation sur Internet à l’aide d’une sorte de joystick. C’est l’un des trois appareils de notre sélection à ne pas intégrer un écran tactile mais, une fois que l’on a compris la logique de fonctionnement, il s’avère plus simple à utiliser qu’il n’y paraît. Il est aussi équipé de la reconnaissance vocale mais hélas, son taux de réussite est bien trop mauvais pour qu’elle puisse être utilisée régulièrement. Le système de bouton rotatif utilisé pour naviguer et sélectionner les menus n’est évidemment pas comparable à un écran tactile, cependant il est plutôt bien conçu et après un certain temps d’adaptation, devient plutôt facile à utiliser. La procédure d’entrée des adresses est bien faite. Le vocabulaire utilisé sur autoroute pour les entrées, sorties et jonctions diverses est en général pertinent et le TTS (Text-to-Speech, processus transformant le texte en voix) est précis. Un point très appréciable sur cet appareil : la possibilité d’utiliser très facilement le zoom manuel, sans avoir à quitter la route du regard, à l’aide du bouton rotatif. La vitesse du processeur est un point très appréciable de cet appareil surtout si on le compare à ce que l’on trouve sur d’autres modèles tels que la Fiat 500 L.
Malgré tout, certains points pourraient être améliorés. À commencer par l’utilisation du tableau de bord comme second écran pour afficher des informations. L’idée est a priori plutôt bonne, mais c’est le choix des informations qui n’est pas bon. Effectivement, elles sont complémentaires et il devient du coup difficile d’avoir un aperçu global de la situation d’un simple coup d’œil sur un écran, il faut regarder les deux. De plus, le deuxième écran est mal positionné sur le tableau de bord, il est trop bas et de plus assez petit. De façon surprenante, on ne trouve pas de menu d’accueil, il est donc impossible d’avoir une vue d’ensemble des fonctionnalités. Il n’y a pas non plus de menu spécifique pour les réglages, ils doivent être faits directement depuis la barre d’outils sur la carte ou depuis le menu de navigation affiché avec le bouton NAV ou encore dans le menu Option que l’on atteint depuis un bouton dédié. Toutes ces entrées doivent être utilisées pour accéder aux différentes possibilités de réglages, et il y en a des dizaines… La structure du menu n’est, à première vue, absolument pas claire et logique et nécessite un véritable entraînement avant de devenir utilisable. Même avec de l’habitude, plusieurs options et icônes demeurent peu claires. Sur autoroute, les noms des entrées et sorties générées par le TTS sont souvent données trop tard, avec la seconde instruction.
La gestion des ronds-points n’est pas non plus très bonne avec une première instruction donnée parfois 500 mètres avant.
En milieu urbain, les routes secondaires sont en blanc, la même couleur que la route à suivre, c’est parfois tout simplement illisible. Le recalcul, bien que très rapide, donne souvent des résultats médiocres avec une fâcheuse tendance à revenir au point d’origine sans proposer d’alternative.
